Margret Rivest Née Schmidt

J'ai appris ce matin le décès de votre mère. Je tape donc ce message un peut tremblant. J'ai de telles mémoires, de si grands souvenirs d'elle, toujours encourageants. Oui, nous étions voisins, sans être intime, sauf pour André qui a été vraiment un très bon ami et complice de feu mon frère Vincent — surtout au hockey! Toutes mes sympathies vous accompagnent même tard. Je me permets aussi de vous demander un faveur: celle de transmettre à votre cher père toutes mes condoléances sincères. On pourrait croire qu'un pan d'enfance disparaît et, tout d'un coup.le souvenir d'un rire, d'une conversation ramène tout cela si présent et vivant. C'est le souvenir que je garderai toujours de votre mère, elle si vibrante, qui propageaiy et suscitant tant d'enthousiasme et à qui je dois une bonne partie de mon penchant germanophile. Je vous salue donc tous les trois, respectueusement et affectivement. Que son sourire, que vous connaisez bien meiux que moi, vous habite toujours, vous et vos familles. François Tousignant

Cher Gérald, C' est avec chagrin que j'ai appris le décès de votre épouse Margret. Même si nous ne nous sommes rencontrées qu'à quelques occasions, je me rappelle que je la retrouvais toujours avec grand plaisir, elle si joviale, facile d'approche et ouverte sur le monde. Soyez assuré que j'en garderai un très bon souvenir. A vous Gérald, ainsi qu'à vos enfants, petits-enfants et à votre famille élargie, je tiens à exprimer, en mon nom et en celui de mon conjoint Paul, nos plus sincères condoléances en ces moments de grande tristesse.

Mes plus sincères sympathies à toi et à ta famille. Je garde un très bon souvenir de Margret.